"S'inspirant de l'histoire vraie d'une Geisha assassinée dans une ville réputée pour ses bains, Adachi a forgé ici son style de prédilection, une sorte de documentarisme conceptuel, en narrant l'incident sur un ton monocorde. La même affaire qui, au début des Anges violés échappait à tout principe de causalité, y est dépeinte comme un anti-spectacle singulier." (Go Hirasawa)